LOEZ André

– Professeur agrégé d’Histoire-Géographie, Lycée Georges Braque, Argenteuil (depuis 2003)
– Maître de conférences pour le 1er cycle en Histoire à Sciences-Po Paris (depuis 2007)
– Membre du Jury du Concours Général des lycées en histoire (depuis 2008)

 

JURYS ET PRÉPARATION AUX CONCOURS :

– Interrogations orales d’Histoire en classes préparatoires (Première supérieure), Lycée Lakanal, Sceaux, pour le cours de M. Pierre-Alain Rogues (depuis 2004).
– Membre du Jury d’admissibilité de Sciences Po Paris en Histoire du XXe siècle (depuis 2006).
– Membre du Jury de l’agrégation externe d’Histoire (2006), question d’histoire contemporaine : « Les campagnes dans les évolutions sociales et politiques en Europe, des années 1830 à la fin des années 1920 : étude comparée de la France, de l’Allemagne, de l’Espagne et de l’Italie. »
– Participation à la préparation d’oral pour l’agrégation externe d’Histoire à Sciences-Po Paris (2008).


ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ET D’ENSEIGNEMENT ANTÉRIEURES :

– Chargé de cours d’histoire en khâgne/option sciences-po, Lycée Blomet, Paris (2008-2009).
– Professeur agrégé stagiaire d’Histoire-Géographie, Lycée Jean Dautet, La Rochelle (2001-2002).
– Bibliothécaire vacataire à la Bibliothèque Nationale de France (2000-2001).
 

CONCOURS ET DIPLÔMES :

2009. Doctorat d’Histoire de l’Université Montpellier-III, Mention « Très honorable » avec les félicitations du Jury à l’unanimité.
2003. Master de recherche en Histoire de l’Institut Universitaire Européen (Florence) grâce à une Bourse Lavoisier du ministère des Affaires étrangères.
2001. D.E.A. d’Histoire de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, mention « Très bien ».
2000. Agrégation externe d’Histoire, rang : 2e/117.
1999. Licence d’Histoire, Université Paris-I, mention « Assez bien ».
1998. Diplôme de l’Institut d’Études Politiques de Paris, section C.R.H., filière Recherche et Enseignement, spécialisation en Histoire, mention « Lauréat ». Boursier.
1994. Baccalauréat série A1, mention « Assez bien ».
1993. Présenté au Concours Général en Français.


LANGUES ET TRAITEMENT DE DONNÉES :

– Anglais bilingue ; Italien et Espagnol courant ; Allemand et Portugais scolaire.
– Informatique : bureautique, TICE, analyse de données, développement Internet (html/php/cms).

 

ACTIVITÉS DE RECHERCHE :

– Co-organisateur du séminaire de recherche mensuel « La guerre des sciences sociales » à l’École Normale Supérieure, 2006-2009 (avec F. Buton, N. Mariot, P. Olivera et E. Picard).
– Co-organisateur du colloque des 9-10 novembre 2007 dans l’Aisne, « Obéir/Désobéir. Les mutineries de 1917 en perspective » (avec Nicolas Mariot).
– Membre du Collectif de Recherche International et de Débat sur la guerre de 1914-1918 (Crid 14-18) et webmestre de son site internet.


– Direction technique et scientifique (avec Rémy Cazals) du « Dictionnaire et guide des témoins de la Grande Guerre », en ligne à l’adresse : www.crid1418.org/temoins/

 

TRAVAUX DE RECHERCHE ET PUBLICATIONS

Ouvrages :

2009. 14-18. Les refus de la guerre. Une histoire des mutins. Paris, Éditions Gallimard, 2010, 704 p.


Présentation de l’éditeur :
Au printemps 1917 des mutineries secouent l’armée française sur le front. Elles n’avaient pas jusqu’alors donné lieu à une étude détaillée des mutins eux-mêmes, dans le surgissement de l’événement, lorsqu’ils s’organisent spontanément, manifestent, voire envisagent de « marcher sur Paris ».
Dans les débats entre historiens sur les raisons de la ténacité des combattants, l’ouvrage apporte une pièce manquante, à travers la restitution au plus près de la rupture inouïe de l’obéissance et du consensus.
Les mutineries s’inscrivent dans la continuité des refus de guerre esquissés et inaboutis depuis 1914. Dès lors que le conflit s’installa, après la bataille de la Marne, dans la durée, on vit se développer à l’échelle individuelle des stratégies d’évitement de la remontée aux tranchées et au danger, les aspirations au retour rapide au foyer, le doute jeté sur la rhétorique patriotique, les propos critiques et revendicatifs de soldats qui n’oubliaient pas qu’ils étaient aussi des citoyens. André Loez redonne toute leur place aux hésitations des soldats, partagés entre dégoût du conflit et impératif du devoir ; aux incertitudes des officiers, entre désarroi et sévérité ; à la force de l’institution militaire, brièvement défiée ; et à la difficile action collective dans le cadre improbable d’une armée en campagne.

 

– 2008. (direction d’ouvrage avec Nicolas Mariot) Obéir/Désobéir. Les mutineries de 1917 en perspective. Actes du colloque de Craonne/Laon, Paris, La Découverte.

Présentation de l’éditeur :
« On ne veut plus monter ». De mai à juillet 1917, plusieurs dizaines de milliers de soldats du front se mettent à refuser les ordres. Qui sont les mutins, les déserteurs et les insoumis ? Comment et pourquoi agissent-ils, dans quels contextes, avec quelles stratégies ? Entre obéissance complète et révolte ouverte, quelles sont les marges de manœuvre et de jeu avec l’ordre dont disposent les individus ? Quel est, enfin, le prix de l’indiscipline ?
Analyser l’émergence des mutineries, dire ce qui les a rendues pensables et possibles, saisir les formes qu’elles ont prises, c’est aussi réfléchir, en creux, à ce qu’elles rompent : l’obéissance. Car si l’événement dévoile l’ampleur possible du désordre et les potentialités de l’indiscipline, il signale dans le même mouvement la solidité de l’institution militaire et la force du conformisme. En cela, les mutineries sont exemplaires : elles permettent, par contraste, de saisir la marche ordinaire des sociétés en guerre.
À rebours d’enquêtes trop souvent cantonnées à un unique pré carré, cet ouvrage soumet 1917 et, au-delà, l’ensemble de la Grande Guerre, aux regards de diverses disciplines (histoire bien sûr, mais aussi science politique, sociologie ou psychologie) et d’autres conflits : Seconde Guerre mondiale, guerre d’Algérie, génocide des Rwandais Tutsis, conflit israélo-palestinien.

– 2008. (avec Rémy Cazals) La vie au quotidien dans les tranchées de 1914-18, Pau, Cairn éditions.

Présentation de l’éditeur :
Alors que tous les combattants français de 1914-1918 ont disparu, ce livre s’attache à faire revivre et comprendre leur expérience. Pendant la Grande Guerre, tous les mobilisés n’ont pas combattu, tous les soldats n’ont pas vécu dans les tranchées face aux tranchées allemandes. Ce livre s’intéresse aux hommes des tranchées, les fantassins ; il explore tous les aspects de leur terrible quotidien. Une telle plongée dans l’univers du conflit est rendue possible par les nombreux témoignages que ces hommes ont laissés, carnets, souvenirs et lettres, et qui sortent depuis quelques années des tiroirs où ils dormaient. Ce livre veut donner la parole à ces hommes, directement ; ils ne seront pas vus ici par leurs chefs, par des observateurs prudemment restés à l’arrière, ou par ceux qui étaient sur le front avec l’intention de produire une œuvre littéraire. Ces hommes ordinaires disent avec précision, parce qu’ils l’ont vécue, l’horrible réalité de la vie matérielle, dans la boue, sous les obus ou face aux balles des mitrailleuses, leurs réactions à la violence commandée et subie, l’expression de leurs sentiments, de leurs espoirs, de leur désespoir. Ce qu’ils pensent de la guerre et de la paix, de leurs chefs et des gens de l’arrière. Comment ils se comportent vis-à-vis de leurs ennemis. Les valeurs qui apparaissent dans leurs récits sont celles de la vie civile en temps de paix, confrontée aux exigences d’une guerre inhumaine.

 

– 2005. (édition d’ouvrage et révision du texte, avec Nicolas Offenstadt) Abel Ferry, Carnets secrets 1914-1918, Paris, Grasset.

Présentation de l’éditeur :
Abel Ferry, neveu de Jules Ferry, est nommé à l’âge de trente-trois ans secrétaire d’État aux Affaires étrangères dans le premier gouvernement de la guerre de 1914-1918. Alors qu’il avait été réformé pour raisons médicales, il fait casser la décision et, le 3 août 1914, donne sa démission du Conseil des ministres pour rejoindre son régiment à la frontière. Démission refusée Ferry sera un ministre, puis un député soldat. Poursuivant sa mission même après son départ du gouvernement, il devient le militant obstiné d’une conduite plus énergique des opérations et du contrôle des parlementaires sur l’armée. Il est mortellement blessé par un obus et meurt le 15 septembre 1918. Son journal intime, tenu durant toute la durée du conflit, révèle la face cachée de la Grande Guerre du côté français : comment les décisions ont été prises, avec quelles dissensions parfois, les opinions des uns et des autres… De Clemenceau à Joffre, de Caillaux à Maginot, les plus
grands noms de l’Histoire défilent sous nos yeux en de passionnants portraits. Publié pour la première fois en 1957, le livre est devenu un ouvrage de référence. En voici une version non expurgée, à laquelle sont jointes plusieurs lettres inédites qu’Abel Ferry écrivit à sa femme Hélène alors qu’il était au front. S’ajoute ainsi, à un document historique de première importance, un document humain exceptionnel.

 

Entrées de dictionnaire :

2008. Notices : « Argot », « Bruits », « Chars », « Chemin des Dames », « Contrôle postal », « Fraternisations », « Graffiti », « Héros », « Justice militaire », « Larmes », « Moulia », « Mutineries », « Nettoyage de tranchées », « Nivelle », « No man’s land », « Obéissance », « Odeurs », « Paix », « Pétain », dans Jean-Yves Le Naour, Dictionnaire de la Grande Guerre, Paris, Larousse, coll. « à présent ».

 

Autres articles ou chapitres d’ouvrages :

– 2009. « Évenement extrême, événement invisible : la « marche sur Paris » des mutins de 1917 », dans Frédéric Rousseau (dir.), La fabrique de l’événement, Montpellier, PUM.

– 2005. « L’espace public des tranchées. « Tenir » sous le regard des autres en 1914-1918 », dans Rémy Cazals, Emmanuelle Picard, Denis Rolland (éd.), La Grande Guerre, pratiques et expériences, Toulouse, Privat, 2005, pp. 259-268.

– 2004. « Si loin, si proche du 16 avril : les mutineries de 1917 » ; « « Le bruit de la bataille. » Le paysage sensible du combattant sur le Chemin des Dames » ; « La bataille avant la bataille : imaginer et deviner l’offensive » ; « Le baptême du feu des chars d’assaut français. Aux origines de la défaite de 1940 ? » « Franchir l’Aisne en 1917 », dans Nicolas Offenstadt (dir.), Le Chemin des Dames. De l’événement à la mémoire, Paris, Stock.

– 2004. « « Lumières suspectes » sur ciel obscur. Le spectacle de la guerre et la recherche des espions dans Paris bombardé en 1914-1918 », dans Christophe Prochasson et Anne Rasmussen (dir.), Vrai et faux dans la Grande Guerre, Paris, La Découverte, 2004, pp. 166-188.

– 2003. « Tears in the Trenches. A Cultural History of Emotions and the Experience of War », dans Jenny MacLeod et Pierre Purseigle (éd.), Uncovered Fields. Perspectives in First World War Studies, Leyde, Brill Academic Publishers, pp. 211-226.

 

Articles :

– 2008. « Autour d’un angle mort historiographique : la composition sociale de l’armée française en 1914-1918 », BDIC, Matériaux pour l’histoire de notre temps, n°91, juillet-septembre, pp. 32-41.

– 2005. « Mots et cultures de l’indiscipline : les graffiti des mutins de 1917 », Genèses, n°59, juin, pp. 25-46.

– 2003. « L’œil du chasseur. Violence de guerre et sensibilité en 1914-1918 », Cahiers du C.R.H., n°31, avril, pp. 109-130.

 

Entretiens :

– 2005. (avec Gérard Noiriel et Philippe Olivera) « Penser = classer ? Entretien avec Michel Dobry », Genèses, n° 59, juin, pp. 151-165.

– 2002. (avec Nicolas Offenstadt) « Un historien dissident ? Entretien avec Arno J. Mayer », Genèses, n°49, décembre, pp. 123-139.

 

Recensions d’ouvrages :

Dans Genèses :

– sur Alf Lüdtke et Bernd Weisbrod (éd.), No Man’s Land of Violence. Extreme Wars in the 20th Century, Göttingen, Wallstein Verlag, 2006, 282 p. (n° 70, mars 2008, p. 157-158)

– sur « Continu/Discontinu. Puissances et impuissances d’un couple. », Espaces Temps Les Cahiers, 82/83, 2003, 180 p. (n° 59, juin 2005, p. 166)

– sur Bruno Cabanes, La victoire endeuillée. La sortie de guerre des soldats français (1918-1920), Paris, Seuil, 2004, 549 p. (n°58, mars 2005)

– sur Nicoletta F. Gullace, « The Blood of Our Sons », Men, Women, and the Renegotiation of British Citizenship During the Great War, New York et Basingstoke, Palgrave Macmillan, 2002, 284 p. (n°52, sept. 2003, p. 158-159)

– sur John Horne, Alan Kramer, German Atrocities, 1914. A History of Denial, New Haven et Londres, Yale University Press, 2001, 608 p. (n° 52, sept. 2003, p. 156-158)

– sur Jane Hathaway (éd.), Rebellion, repression, reinvention: mutiny in comparative perspective, Westport (É-U), Praeger, 2001, xix+282 p.; « Mutiny. Disaffection and Unrest in the Armed Forces », Revolutionary History, vol. 8, n°2, 2002, 308 p. (n° 50, mars 2003, p. 158-9)

– sur Michelle Perrot, Les ombres de l’histoire. Crime et châtiment au XIXe siècle, Paris, Flammarion, 2001, 427 p. (n° 47, juin 2002, p. 163-4)

Dans les Cahiers Jean Jaurès :
– sur Fabienne Bock, Un parlementarisme de guerre, 1914-1919, Paris, Belin, 2002 (« Guerre et parlement » , n°167-168, janvier-juin 2003, p. 23-30)

Dans Politix :
– sur Arno J. Mayer, Les Furies. Violence, vengeance, terreur aux temps de la Révolution française et de la Révolution russe, Paris, Fayard, 2002 (vol. 15, n°60/2002, p. 233-238)

 

Travaux de recherche non publiés :

– 2009. « Si cette putain de guerre pouvair finir ». Histoire et sociologie des mutins de 1917, Thèse, Université Montpellier-III, sous la direction de Frédéric Rousseau.

– 2003. Les mutins de 1917. Choix et cultures de l’indiscipline dans la guerre totale, June Paper de l’Institut Universitaire Européen de Florence, sous la direction de Regina Schulte.

– 2001. Culture sensible et violence de guerre. Trois approches de l’expérience de guerre des combattants français en
1914-1918, Mémoire pour le D.E.A. de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, sous la direction de Christophe Prochasson.

– 1997. Les mutins de 1917 : répertoire d’une action collective, Mémoire de l’Institut d’Études Politiques de Paris, sous la direction de Nicolas Offenstadt.

 

Communications et interventions diverses :

– 2009. « Combattants, militaires, civils, citoyens : les identités des soldats français en 1914-1918 », Grenoble, Congrès de l’AFSP.
– 2009. « Un socialisme en filigrane. La politisation des mutins de 1917 », colloque de Metz des 27-28 mai 2009 sur le socialisme et la Grande Guerre.
– 2009. Présentation des travaux de Whilelm Deist et Alexander Watson au séminaire « La guerre des sciences sociales », Paris, ENS.
– 2008. Les loyautés contradictoires des mutins de 1917. Communication au « La guerre des sciences sociales », Paris, ENS.
– 2008. « Les enjeux de la Grande Guerre sur Internet », débat animé aux Rendez-vous de l’histoire de Blois (avec P. Rygiel, N. Offenstadt et D. Letouzey).
– 2008. « La Grande Guerre entre pacifisme et patriotisme », débat aux Rendez-vous de l’histoire de Blois (avec J.-Y. Le Naour, N. Beaupré et P. Foro).
– 2008. « La marche sur Paris des mutins de 1917 », communication présentée au colloque « La fabrique de l’événement », Université Montpellier-III.
– 2008. Présentation des travaux de Jacques Sémelin au séminaire « La guerre des sciences sociales », Paris, ENS.
– 2007. « Éléments pour une sociologie des mutins de 1917 », communication au colloque « Obéir/Désobéir », novembre 2007.
– 2007. « 1914-1918 : les simplismes scolaires de la « culture de guerre » », intervention à la journée « La fabrique scolaire de l’histoire », organisée par le CVUH, 6 octobre 2007.
– 2007. « Que sait-on de la composition sociale de l’armée en 1914-1918 ? », intervention au séminaire « La guerre des sciences sociales », ENS, 5 février 2007.
– 2006. « L’impossible monument des mutineries », communication à la journée d’études sur les monuments de Pontivy (P. Olivera, dir., novembre 2006).
– 2006. Débat avec Rémy Cazals autour du film Premier noël dans les tranchées, docu-fiction de Michael Gaumnitz, aux Rendez-vous de l’histoire de Blois.
– 2006. « Improviser l’indiscipline : stratégies, contraintes et craintes des mutins de 1917 », communication au colloque de l’Association Française de Science Politique, « Protester XIXe – XXe siècles. Histoire et sociologie des mouvements sociaux », 28-29 septembre 2006, en ligne sur http://www.afsp.msh-paris.fr/
– 2006. « Nommer la révolte. La qualification des « mutineries » de la Première Guerre mondiale : un enjeu de luttes », intervention au séminaire « Introduction à la socio-histoire » (G. Noiriel, F. Buton, N. Mariot), ENS, janvier 2006.
– 2004. « L’espace public des tranchées », communication au colloque « La Grande Guerre, pratiques et expériences », Soissons, novembre 2004.
– 2004. « Sensibility in the trenches », intervention au séminaire de Regina Schulte, IUE de Florence, février 2004.
– 2001. « Enquête sur les larmes des combattants », Colloque « la Grande Guerre aujourd’hui », IEP de Lyon, septembre 2001.
– 1998. « Mobilisation et démobilisation : l’exemple des mutineries de 1917 », intervention au séminaire sur la Grande Guerre de Christophe Prochasson et Anne Rasmussen, novembre 1998.

 

Autres textes :

– 2008. « 1914-1918 : retrouver la controverse », texte en ligne sur le site « La vie des idées » (avec François Buton, Nicolas Mariot et Philippe Olivera). http://www.laviedesidees.fr/1914-1918-retrouver-la-controverse.html

– 2008. « Le site web du Crid 14-18 », BDIC, Matériaux pour l’histoire de notre temps, n°91, juillet septembre, pp. 90-91.

– 2005-2008. Textes en ligne sur le site www.crid1418.org : « Petit répertoire critique des concepts de la Grande Guerre » (avec Nicolas Offenstadt) ; « Lexique des termes employés en 1914-1918 » ; nombreuses recensions d’ouvrages.

– 2006. « Quand le lycée brûle », point de vue publié dans Le Monde du 18 janvier 2006

 

 

Dernière mise à jour : 10/11/2023