ZARADER Marlene

Statut : 
Autre
Corps : 
PROFESSEUR DES UNIVERSITES EMERITE
Emerite : 
Oui
Habilitation à diriger des recherches : 
Oui
CNU : 
Philosophie
Organisme d’affectation : 
Université Paul-Valéry Montpellier 3
Courriel :

 

Membre honoraire de l'Institut universitaire de France

Membre de l’Académie des Sciences et Lettres de Montpellier


Champs de recherche :

– Histoire de la philosophie contemporaine allemande et française

– Phénoménologie

– Herméneutique

 

Liste des travaux et publications

 

1. Ouvrages individuels :

 

- Cet obscur objet du vouloir, Lagrasse, Verdier, 2019, 160 p.

Présentation de l'éditeur :
« Je ne veux rien. » Une formule en apparence anodine, une énigme pourtant, en raison de sa plurivocité. Est-elle l’expression d’un amour désintéressé (on ne veut rien pour soi) ou d’un renoncement à la vie (on ne veut rien du tout) ? Ces deux horizons de sens semblent irréductibles l’un à l’autre. Il s’agit ici d’interroger leur possible rapport : d’envisager qu’ils puissent constituer deux déclinaisons d’une même figure du vouloir. Entre un amour qui se voudrait au-delà de tout désir et un désir qui ne veut plus rien d’autre que la mort, pourrait-il exister un lien ?
Le premier temps du parcours explore cette figure multiforme, en faisant appel à quelques grands témoins, venus du cinéma, de la littérature ou de la mystique. Il conduit à ce constat : que ce soit ouvertement sous la figure du désespoir ou plus obscurément sous le masque de l’amour, certains êtres aspirent à n’être plus. Le second temps se concentre sur cette aspiration paradoxale, afin d’en comprendre la nature et d’en dégager le fondement. Si la philosophie l’a largement ignorée, la psychanalyse s’est efforcée de la thématiser, en avançant l’hypothèse d’une « pulsion de mort ».
Or penser l’aspiration au non-être en termes de pulsion, c’est en faire une tendance inhérente au vivant. On propose d’y reconnaître plutôt une possibilité de l’existant. L’objet de ce livre est en somme de rapatrier en philosophie ce que Freud avait nommé pulsion de mort, et d’en tirer les conséquences pour une compréhension renouvelée de l’existence humaine.

 

Lire Vérité et méthode de Gadamer. Paris, Vrin, Bibliothèque d’Histoire de la Philosophie, 2016, 408 p. Préface de Jean Grondin.

Présentation de l’éditeur :
Pourquoi lire Vérité et méthode? Parce qu’il constitue l’un des livres majeurs de la philosophie contemporaine; mais aussi parce que, par les débats qu’il a suscités, il renvoie à l’ensemble de celle-ci.
La présente étude poursuit donc un double objectif. Le premier est d’offrir un commentaire de l’intégralité du texte. Il s’agit de le suivre pas à pas, dans sa littéralité, afin d’aider le lecteur à s’y retrouver dans ce livre foisonnant : en comprendre les concepts, apprendre à circuler dans l’ouvrage sans s’y perdre, en identifier les lignes de force. Ce patient travail de déchiffrement est le seul moyen d’éviter les lectures hâtives, qui s’orientent sur ce qu’elles supposent être les « réponses » de l’auteur, sans faire le partage entre ce qui relève d’une analyse des phénomènes et ce qui relève d’une prise de position à leur égard. Le second objectif est de restituer les multiples dialogues indissociables de Vérité et méthode, qu’ils soient intérieurs à l’œuvre (les philosophes auxquels Gadamer se réfère prioritairement) ou postérieurs à celle-ci (les multiples interprétations et critiques auxquelles cette œuvre a donné lieu, et qui en constituent comme un prolongement).
On espère que ce travail centré sur un seul livre ouvrira quelques aperçus sur l’œuvre entière de Gadamer, plus largement sur ce courant qu’est l’herméneutique, et plus largement encore qu’il pourrait faire office de table d’orientation dans le champ multiforme de la philosophie contemporaine. L’herméneutique n’y représente qu’une option possible. Mais le fait d’approfondir celle-ci peut permettre d’identifier les autres, en conduisant à mieux comprendre la question avec laquelle tout le XXe siècle a été en débat, et qu’on désigne communément comme celle de la crise de la raison.

 

Lequel suis-je ? Variations sur l’identité, Paris, Les Belles Lettres, collection « Encre marine », 2015, 144 p.

Présentation de l’éditeur :
La question de l’identité est ici abordée à partir de ses paradoxes. Prenant pour support un certain nombre de fictions, littéraires ou cinématographiques (Cortázar, Borges, Dostoïevski, Stevenson, Hitchcock), ainsi que quelques témoignages non fictionnels, ce livre tente de dégager le « motif » commun qui s’y joue, et d’interroger le lieu où il s’enracine.
L’hypothèse est que le clivage mis en lumière par les identités divisées traverse souterrainement toute identité – fût-ce en y étant surmonté. Et qu’il trouve son origine dans un conflit entre deux dimensions de l’existence : l’une qui nous porte vers la vie, l’autre qui nous en détourne et aspire à la mort. Cette structure « agonistique » de l’existence est le plus souvent méconnue. Elle peut pourtant être reconnue si l’on porte attention aux traces qu’elle laisse. Or c’est dans le champ de l’identité que ces traces sont le plus parlantes; et ce sont les identités paradoxales qui les font le mieux entendre.

 

Lire Être  et temps de Heidegger,  Paris, Vrin, Bibliothèque d'histoire de la philosophie, 2012, 428 p.

Présentation de l’éditeur :
Lire Être et temps : une aventure captivante – et difficile. On se propose ici d’accompagner le lecteur dans cette aventure, et de l’aider, autant qu’il est possible, à lire le texte. Le lire, c’est d’abord s’employer à le déchiffrer : le suivre pas à pas, dans sa littéralité, en éclairer les concepts, en restituer l’économie interne. C’est, ensuite, ne pas hésiter à le questionner : car ces concepts ne vont pas de soi, et moins encore l’économie d’ensemble dans laquelle ils sont pris.
Le maître-livre de Heidegger fait donc ici l’objet d’une approche critique, visant à en mesurer les tensions et à dégager les difficultés qui y restent en suspens. Mais sa spécificité est qu’elle s’effectue au fil d’un commentaire linéaire qui n’abandonne jamais la lettre même du texte. D’où découle le rythme de ces pages, marqué par une complexification croissante. Elémentaire au début, l’analyse s’affinera progressivement, permettant au lecteur d’entrer toujours plus avant dans la problématique, et d’en maîtriser les enjeux.
Il apparaîtra finalement que le principal d’entre eux est constitué par le concept de monde : l’auteur s’attache à montrer que, tout en étant au cœur de Sein und Zeit, ce concept est le lieu d’un problème qui ne semble pas pouvoir trouver sa solution dans le cadre de l’ontologie fondamentale.

 

La patience de Némésis, Préface d’Yves Bonnefoy, Chatou, Les Éditions de la Transparence, 2009, 224 p.

Présentation de l’éditeur :
La patience de Némésis est infinie. Fille de la nuit, elle veille inlassablement : son heure viendra aussi sûrement que l’aube. Elle sait que les hommes – dans leurs actions, leurs désirs, leur pensée – sont aux prises avec des territoires mal définis. Elle s’amuse de leurs minutieux arpentages, elle les regarde fixer leurs mesures, elle les laisse même vouloir l’impossible. Mais elle finit toujours par apparaître. La nécessité de cette apparition est ici approchée par facettes, au fil d’œuvres chaque fois singulières.

 

L’Etre et le Neutre. À partir de Maurice Blanchot, Lagrasse, Verdier, « Philia », 2001, 320 p.

Présentation de l’éditeur :
Nous vivons parfois cette expérience impossible : l’effondrement du monde, l’ouverture de l’abîme. Faisant l’épreuve de cette dépossession, nous sommes soumis à l’extrême souffrance où tout sens semble irrémédiablement suspendu.
C’est cela que Blanchot circonscrit sous le nom de « nuit » et qu’il s’efforce de prolonger dans une pensée du neutre. Prendre au sérieux cette pensée, lui demander ses raisons, tel est le dessein de ce livre. Il engage indissolublement un autre enjeu : affronter l’épreuve elle-même, dont le mot de « nuit » est le signe, la transformer en question. Peut alors commencer un travail sur une certaine époque de la pensée : ouverte par son attention à l’irréductibilité de la « nuit », elle s’était très largement reconnue en Blanchot.
Trois cercles concentriques donc, disposés autour d’une unique interrogation : la pensée peut-elle accueillir l’abîme ?
Qu’elle ne le puisse pas, peut-être faut-il le conclure, mais cette impossibilité réclame d’être établie, et non simplement présupposée.

 

La Dette impensée. Heidegger et l’héritage hébraïque, Paris, Seuil, « L’ordre philosophique », 1990, 251 p. (réédition Vrin, 2014).

Présentation de l’éditeur :
Heidegger affirme l’existence d’une opposition principielle entre la pensée, qui relèverait uniquement de notre héritage hellénique, et la foi, qui serait le fait de l’héritage biblique.
Ce que montre Marlène Zarader, c’est que les choses, et peut-être à l’insu même de Heidegger, sont loin d’être aussi simples. Que, dans sa tentative de dépasser la métaphysique et d’en éclairer l’impensé, Heidegger a débouché sur des énonciations qui présentent d’étroites analogies avec ce qui se trouve déposé dans la tradition hébraïque.
Heidegger exclut donc l’héritage hébraïco-biblique du champ de la pensée, sans parvenir à en faire l’économie dans la sienne propre. Marlène Zarader y voit le signe qu’on ne peut effacer la double origine de l’Occident et que cette dualité fait toujours retour.

 

Heidegger et les paroles de l’origine, Préface d’Emmanuel Lévinas, Paris, Vrin, « Bibliothèque d’histoire de la philosophie », 1986, 319 p. (réédition 2013).

Présentation de l’éditeur :
« Phusis, Alèthéia, Khréon, Moïra, Logos : tels sont les Grundworte, ces “paroles fondamentales” qui inaugurèrent notre destin, et dont Heidegger dévoile le double statut : ouvrant le commencement, elles abritent l’origine; donnant le branle à l’histoire manifeste de la pensée, elles restent en même temps porteuses de son versant secret, et toujours oublié. C’est ce versant secret qui est ici exploré, faisant de ce livre la patiente reconstitution du texte de l’origine.
Texte essentiel, puisque ce n’est que lorsqu’il est rétabli que notre histoire, enfin rendue à elle-même, peut trouver sa clôture; que la “question de l’être”, enfin pensée comme question, peut être abandonnée. C’est dire que l’œuvre heideggerienne connaît un double tournant : le premier permet à la pensée de s’engager dans la question de l’être comme histoire; le second lui permet de se dégager de cette même question, et de clore l’histoire. De ces deux ruptures, l’une précoce et assez généralement reconnue, est celle de la Kehre, l’autre, tardive et plus méconnue, est celle de l’Ereignis. »

 

2. Ouvrages individuels ayant fait l’objet de traductions :

 

Heidegger et les paroles de l’origine :

– en italien : Heidegger et le parole dell’origine, préf. di Emmanuel Lévinas, introduzione di Massimo Marassi, [trad. de Simona Delfino], Milano, Vita e pensiero, coll. « Metafisica e storia della metafisica », 1997, 416 p.

– en portugais : Heidegger e as palavras da origem, trad. João Duarte, Lisboa, Instituto Piaget, 1998, 415 p.

 

La Dette impensée :

– en japonais : ハイデガーとヘブライの遺産 -思考されざる債務 , Hosei University Press, 1995, 330 p.

– en italien : Il debito impensato : Heidegger e l’eredità ebraica ; introduzione et traduzione di Massimo Marassi, éd. Vita e pensiero, coll. « Metafisica e storia della metafisica », Milano, 1995, 262 p.

– en portugais : Dívida Impensada : Heidegger e a Herança Hebraica, trad. S. Meneses, Lisboa, Instituto Piaget, coll. « Pensamento e Filosofia », 1999, 270 p.

– en anglais : The Unthought Debt: Heidegger and the Hebraic Heritage, trad. B. Bergo, Stanford University Press, coll. “Cultural Memory in the Present”, 2006, 255 p.

 

3. Participation à des ouvrages collectifs :

– « Les choses et les mots. Avec Henri Maldiney et Yves Bonnefoy », in : Maldiney. Une singulière présence, ouvrage collectif, Les Belles Lettres, collection “Encre marine”, 2014, p. 201-216.

– « L’origine entre mythe et critique », in : La lingua delle origini nel Novecento. Poeti e filosofi, sous la direction de G. Ferreccio, Allessandria, Edizioni dell’Orso, 2010, p. 15-24.

– « La poésie, entre langage et silence », in : Poésie, arts, pensée. Carte blanche donnée à Yves Bonnefoy, sous la direction d’ Y. Bonnefoy et P. Née, Paris, Hermann, 2010, p. 141-166.

– « Entre parole et présence », in : Yves Bonnefoy. Poésie, recherche et savoirs, sous la direction de D. Lançon et P. Née, Paris, Hermann, 2007, p. 219-236.

– « Le miroir aux trois reflets », in : Heidegger, sous la direction de M. Caron, Paris, Editions du Cerf, collection « Les cahiers d’histoire de la philosophie », 2006, p. 39-65. [Réédition].

– « Le rien, le neutre, la mort », in : Ligne de risque 1997-2005, sous la direction de Y. Haenel et F. Meyronis, Paris, Gallimard, collection « L’infini », 2005, p. 146-155.

– « The Event – between Phenomenology and History », in : The Past’s Presence. Essays on the historicity of philosophical Thought, sous la direction de M. Sa Cavalcante Schuback et H. Ruin, Södertörns Hogskola (Suède), 2005, p. 25-55.

– « Figures du vide », in : Une pensée singulière. Mélanges offerts à J.-F. Marquet, sous la direction de P. David et B. Mabille, Paris, L’Harmattan, 2003, p. 265-278.

– « Eloge de la subversion » (en italien), in : Levinas e la cultura del XX° secolo, sous la direction de G. Lissa, ed. Guida, Naples, 2002.

– « Phenomenality and transcendence », in : Transcendence in philosophy and religion, sous la direction de J. E. Faulconer, Indiana University Press, 2002, p. 106-120.

– « The mirror with the triple reflection », in : Christopher Macann (ed.) : Martin Heidegger : Critical Assessments [4 volumes], Routledge ed., London and New-York, 1992, vol. II, p. 17-36. Réédition in : Critical Heidegger, Routledge ed., London and New-York, 1996, p. 7-27.

 

4. Principaux articles :

– « La promesse et l’intrigue », in : Cités, PUF, 2008, n° 33 : « Paul Ricœur, interprétation et reconnaissance », p. 105-118.

– « Le lieu de l’art », in : Les Temps Modernes, juillet-octobre 2008, n° 650 : « Heidegger. Qu’appelle-t-on le Lieu ? », p. 101-116.

– « Herméneutique et restitution », in : Archives de philosophie, hiver 2007, tome 70, cahier 4, p. 625-639.

– « L’événement, entre phénoménologie et histoire », in : Tijdschrift voor Filosofie, juin 2004, n° 2, p. 287-321.

– « Le partage des mots », in : Europe, juin-juillet 2003, n° 890-891, p. 203-216.

– « L’épreuve de l’impossible » (en finnois), in : Niin et Näin, avril 2003, n°39.

– « L’événement du désir », in : Etudes phénoménologiques, septembre 2002, n° 36, p. 49-64.

– « Le miroir. Histoire d’une évolution » (en hongrois), in : Existentia, vol. VIII (1998), n° 164, Budapest, p. 37-51.

– « Effeti di silenzio », in : Con-tratto. Rivista di filosofia tomista e di filosofia contemporanea, genn.-dicembre 1993, Ann. II, 1-2 : «Heidegger e l’etica », Il poligrafo, Padova, p. 191-197.

– « Heidegger, Husserl, Sartre », in : Fortuna, avril 1988, n° 4, p. 3-25.

– « Le miroir aux trois reflets », in : Revue de philosophie ancienne, 1986, t. IV, n° 1 : « Heidegger et les Grecs », p. 5-32.

– « La pantomime interrompue », in : Exercices de la patience, mars 1985, n° 6 : « Effets de neutre », p. 81-97.

– « Hegel et Dostoïevski », in : Les cahiers de la nuit surveillée, 1983, n° 2 : « Dostoïevski », p. 141-159.

– « Etre et transcendance chez Heidegger », in : Revue de métaphysique et de morale, juillet-septembre 1981, n° 3, p. 308-320.

– « Chirico et Heidegger », in : Critique, février 1980, n° 393, p. 155-173.

– « La dialectique du crime et du châtiment chez Hegel et Dostoïevski », in : Revue de métaphysique et de morale, juillet-septembre 1976, n° 3, p. 350-375.

 

Colloques internationaux (sélection)

- Colloque annuel des « Rencontres philosophiques  », Monaco », 7 juin 2018.
Intervention : « Heidegger et la mort ».

– 6-7 novembre 2008 : Turin (Italie), Colloque international : « La lingua delle origini. Poeti e filosofi ». Resp. G. Fereccio, C. Sandrin.
Intervention : « L’origine, entre mythe et critique ».

– 17 mai 2008 : Tours (France), journée « Carte blanche à Yves Bonnefoy ».
Intervention : « Langage conceptuel et parole poétique. Hoffmansthal et Rilke ».

– 20-30 août 2006 : Centre culturel international de Cerisy-la-salle (France), Colloque international : « Yves Bonnefoy, poésie et savoirs ». Resp. D. Lançon et P. Née.
Intervention : « Entre parole et présence : Yves Bonnefoy et Martin Heidegger ».

– 5-9 juin 2006 : Porto Alegre (Brésil), Symposium International de phénoménologie et herméneutique : « The life of the other : bioethics, biotechnology, biopolitics ». Resp. Nythamar de Oliveira.
Intervention : « Herméneutique et restitution ».

– 12-16 avril 2004 : Rio de Janeiro (Brésil), Colloque international « Ethiques de la finitude : Hannah Arendt, Martin Heidegger et Emmanuel Lévinas ». Resp. Marco Casanova.
Intervention : « Une lecture de Lévinas ».

– 14-18 juillet 2003 : Perugia (Italie), Colloque du International Symposium for Phenomenology : « Histoire, mémoire, événement ». Resp.W. Froman, J. Slatman et O. Custer.
Intervention : « Questions sur l’événement : entre phénoménologie et histoire ».

– 27-29 mai 2003 : Helsinki (Finlande), Colloque international sur « La parole impossible ». Resp. Susanna Lindberg.
Intervention : « L’épreuve de l’impossible : langage, littérature, poésie ».

– 28-30 avril 2000 : Utah (USA), Brigham Young University, Colloque international sur « philosophie et religion ». Resp. James E. Faulconer.
Intervention : « Phénoménalité et transcendance »

– 8-13 avril 2000 : Naples (Italie), Université Federico II, Colloque international sur Lévinas. Resp. Giuseppe Lissa.
Intervention : « L’être et l’autre »

 

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    19/09/2014